Pictures by Pauline Darley
Il y a un an, je me faisais opérer de la myopie, et pensais alors tourner définitivement la page des problèmes de vue qui m’habitaient depuis près de quinze ans, certes peu graves car j’étais simplement myope comme une taupe, mais qui entravaient ma perception du monde. Cette opération était avant tout motivée par un but esthétique, car ma cornée étant trop sèche pour accueillir des lentilles dures ou souples, je n’avais donc jamais connu la liberté d’une vie sans lunettes, et désirais me voir -c’est le cas de le dire- sous un nouvel angle. Aujourd’hui, ma vision est parfaite dès le moment où mes paupières s’ouvrent chaque matin, mais on ne peut pas en dire autant à l’heure du coucher, car j’ai découvert une foule d’autres problèmes liés au domaine bien complexe de la vision. Comme j’avais en permanence la béquille apportée par mes lunettes, je ne savais pas ce qu’était la fatigue visuelle, et c’est un souci auquel j’ai du faire face lors de cette année passée. Entre les écrans multiples, le stress et la fatigue, il m’arrive très fréquemment d’avoir une vision troublée, comme embuée, et je dois parfois plisser les yeux en fin de journée si je suis particulièrement épuisée, ou apposer mes mains sur mes yeux fermés comme pour tenter de les soulager. Étant une personne intrinsèquement visuelle, qui tire son inspiration du monde alentour, on peut dire que cela représente un réel obstacle, qui n’avait toutefois pas trouvé de solution jusqu’à ma rencontre révélatrice avec ZEISS, et le changement que cela a apporté dans mon quotidien. Alors, peut-on porter des lunettes à nouveau après avoir été opérée de la myopie ? La réponse est oui !
Tout d’abord, commençons par parler de ZEISS qui est un des leaders mondiaux de l’optique de pointe, et dont l’expertise s’étend à une impressionnante variété d’outils de précision, puisque leurs optiques sont utilisées sur les microscopes, dans les salles d’opération, pour le système de sécurité des aéroports, par la NASA…D’ailleurs, si les premiers pas de l’homme sur la lune ont pu être photographiés par Neil Armstrong, c’est grâce à des optiques ZEISS, et je ne sais pas pour vous, mais cela suffit à me faire rêver ! Une recherche d’innovation qui s’applique aussi dans le domaine artistique, ainsi j’ai été fascinée d’apprendre que des optiques ZEISS se trouvaient dans la production d’œuvres haut placées dans mon panthéon artistique. Saviez-vous par exemple que Claude Monet portait des verres ZEISS après son opération de la cataracte, et que cela l’avait considérablement aidé à combattre la dégénérescence de sa vue et par conséquent réaliser son immortelle série des Nymphéas ? Car il faut savoir que la marque existe depuis 1846, c’est dire ! Autre géniale anecdote, Stanley Kubrick a pu filmer la célèbre et ô combien magnifique scène de Barry Lyndon entièrement éclairée à la bougie (et accompagnée par le sublime morceau de Schubert), grâce à des objectifs ZEISS qui avaient été à l’origine créés pour la NASA afin d’observer et de photographier la face cachée de la lune. Quand à Peter Jackson, c’est avec des optiques ZEISS qu’il a équipé sa caméra pour tourner sa très picturale trilogie du Seigneur des Anneaux. Il n’en faut pas plus pour me convaincre !
Certes, je ne suis ni Stanley Kubrick, ni Peter Jackson, mais à mon modeste niveau, l’importance d’une vision claire et précise est capitale pour mon métier-passion, qui se nourrit d’inspirations visuelles répétées (difficile d’apprécier une expo ou un film quand la vue est troublée), et se traduit au quotidien par un important temps de travail sur divers écrans. Nous commençons à le savoir, la fatigue visuelle est un des maux de notre siècle, mais savoir n’est pas pour autant vouloir car il est virtuellement impossible aujourd’hui de se défaire de ces pratiques, surtout quand elles constituent la base de notre activité ! Si l’environnement autour de nous a évolué, avec l’apparition de nombreux outils numériques, on ne peut pas en dire autant de l’œil, et c’est pour cette raison qu’apparait la nécessité du mieux voir et de la protection visuelle.
Commençons par les smartphones et les Ipad : ils ont donné naissance à une nouvelle façon de se tenir, le cou et le regard tournés vers le sol, et épuisent l’oeil car lorsque nous les posons et les reprenons sans cesse, le cristallin doit à chaque fois s’accommoder du décalage entre le monde qui nous entoure au loin, et l’outil numérique que l’on tient très près de soi, ce qui créé une fatigue, et parfois même dans mon cas une sensation de vertige. Entre les ordinateurs, les tablettes, les smartphones, les livres, l’œil est sans cesse sollicité et ce de multiples manières, ce qui contribue à créer une fatigue visuelle qui chez certains se manifeste dès le début de la journée. De plus, au delà de l’alternance entre vision de près et la vision de loin, la quasi permanence du regard tourné vers le bas peut souligner la fatigue visuelle et créer des douleurs cervicales qui à terme deviennent handicapantes. Malheureusement on ne sait pas toujours comment répondre à cette problématique, et on a tendance à se délivrer des migraines avec de l’aspirine sans que le problème soit réglé, d’où l’intérêt de le traiter à sa source. C’est alors qu’intervient la gamme Digital Adapt de ZEISS, en proposant un soulagement qui est très bien décrit par cette métaphore : imaginez que vos lunettes soient comme une paire de chaussures, vous ne porteriez pas le même paire pour aller danser ou faire une randonnée, et bien il en va de même avec les verres optiques, qui sont là pour apporter à l’œil un support et une protection au quotidien et lui permettre de s’accommoder à l’usage fréquent d’outils numériques. Il s’agit donc de traiter par une offre adaptée ces deux problématiques : prévenir la fatigue numérique et améliorer l’accommodation entre la vision de près et la vision de loin, afin d’être plus performant lorsque l’on travaille sur des écrans. C’est également une action de protection contre les risques de cataracte qui se fait sur la durée, en plus d’apporter un soulagement au quotidien.
Outre les ajustements de la vision entre le monde réel et celui des smartphones, une autre cause de fatigue visuelle est à trouver dans la lumière bleue émise par les écrans et les lumières artificielles (comme les LED ou les ampoules à économie d’énergie), à laquelle nous sommes surexposés chaque jour. C’est pour cette raison que les verres de la gamme Digital Adapt propose le traitement Duravision® BlueProtect qui permet d’atténuer la lumière bleue, excepté le spectre lumineux qui est bénéfique pour l’organisme (car favorisant la production de mélatonine, qui stimule le sommeil). Il n’y a ainsi pas besoin de s’équiper d’une seconde paire de lunettes, grâce aux verres optiques ZEISS qui agissent comme des couteaux suisses pour aider et protéger la rétine au quotidien.
Sur une note plus futile, je trouve très amusant et rafraîchissant de pouvoir retrouver grâce à cette paire de lunettes l’apparence qui m’a accompagnée durant de longues années, et ce n’est pas par hasard que j’ai choisi ce modèle Anne & Valentin si similaire aux fameuses lunettes que j’ai porté des années durant. Lorsque je les ais reçues, je me suis amusée à semer la confusion chez mes amis en me montrant telle qu’ils m’avaient si longtemps connue, à l’instar de Pauline qui en réalisant ces photos m’a dit, « bon ben on dirait qu’on est de retour en 2009 ! ». J’aime l’idée de pouvoir tisser un lien avec ce qui a été ma marque de fabrique pendant presque toute une vie, puisque je porte des lunettes depuis mes douze ans, car, bien que l’opération m’ait permise de gagner confiance en moi en m’affranchissant d’une certaine image qui me pesait, je reste toujours cette fille aux lunettes au nez plongé dans les livres. Seulement aujourd’hui, le choix m’est donné de pouvoir les enlever quand je le souhaite !
J’ai trouvé mes lunettes chez l’opticien indépendant Le Caribou qui propose des montures faites à la main (principalement en France) avec un conseil très personnalisé sur le choix des verres, de monture, de couleur ou de forme ! Si on a une ordonnance, il faut bien sûr venir avec, mais dans le cas contraire on peut aussi venir sans, ce qui était mon cas
Dans la gamme Digital Adapt de ZEISS (qui est fabriquée en France à Fougères, juste à coté de là ou vivait mon grand-père), j’ai été orientée vers les verres ZEISS Digital Lenses, qui sont pensés pour soulager l’effort musculaire fourni par l’œil afin de s’adapter aux outils numériques, avec des verres optiques conçus pour apporter une aide à la vision lorsqu’elle est tournée vers le bas, c’est à dire sur nos tablettes, smartphones, ordinateurs….Je ne suis plus myope donc la correction est extrêmement légère, et seulement présente sur le bas des verres ce qui permet de soulager le cristallin en travaillant à sa place, mais également de protéger ma rétine contre le spectre néfaste de la lumière bleue avec le traitement ZEISS Duravision® BlueProtect.
Comme il m’arrive de passer toute une journée sur mon téléphone à répondre à mes mails et gérer mes réseaux sociaux, ou d’écrire sur mon ordinateur durant 6 à 7 heures d’affilée et d’enchaîner après sur une soirée de lecture, je porte mes lunettes dès que je travaille (ce qui est aussi un bon réflexe pavlovien pour se mettre dans une ambiance de boulot), et depuis un mois que j’ai pris cette habitude, je me sens beaucoup moins vidée de mon énergie à la fin de la journée et je comprends mieux les raisons qui entrainaient cet épuisement. Désormais, je n’ai plus d’obstacle à ma vie digitale, ce qui me permet d’être plus efficace au quotidien, d’autant plus que dans ma famille nous sommes très sujets à la fatigue oculaire, et c’est un problème qui peut être un sérieux handicap, ainsi est-il important pour moi de le prévenir et de m’en protéger plutôt que de chercher à le guérir plus tard. J’ai déjà pu en voir les bénéfices puisque mes migraines oculaires de fin de journée ainsi que mes vertiges ont peu à peu disparu, et je me sens beaucoup moins exsangue après une journée passée sur l’ordinateur ! J’ai également adopté le réflexe de sortir mes lunettes lorsque je regarde un film ou lit un livre, ce qui m’évite bien des inconvénients car je n’ai plus de mal de crâne lorsque j’alterne entre mon smartphone et mes lectures. Plus les années passent et plus je passe de temps sur les écrans, aussi il est essentiel d’arriver à me concentrer des heures durant sans devoir en payer le prix par des maux de tête, une vision floue, une fatigue encombrante, qui épuise et rend improductif. J’ai mis beaucoup de temps, d’argent et de souffrance à obtenir une vision nette, alors je ne la gâcherais pour rien au monde !
From Paris with Love,
Louise
C’est drôle : je viens de voir ton article alors que je sors tout juste de chez l’opticien avec une superbe nouvelle paire sur le nez !
Je suis myope et porte des lunettes depuis mes 8 ans (ça fait pas mal de temps, je me sens vieille d’un coup!^^), mais je refuse l’opération car mes lunettes font parties de moi et de mon look. Cependant, j’ai pu profiter des dernières technologies : mes verres de myope sont désormais équipées d’un système anti-lumière bleue et anti-rayonnement, plus un anti-reflet, plus un virage marron au soleil. Le pied pour quelqu’un qui ne peut vivre sans ses lunettes pour cause du syndrôme de la taupe ! Bon, ce ne sont pas des verres Zeiss, mais toutes ces options sont vraiment un plus pour les lunettes et les yeux. Je conseille tous les porteurs de lunettes de prendre ces options, car c’est vraiment plus confortable pour la vue. Bon, par contre, si vous venez sans ordonnance, vous ne serez pas remboursés (faut savoir qu’avec une myopie comme la mienne, assez importante, je débourse à peu près 115 euros, et ça, c’est avec remboursement, donc, une ordonnance, c’est mieux).
Tu es très jolie avec et sans lunettes, mais c’est vrai que, après t’avoir vu sur tous ces posts sans lunettes, ça fait bizarre de te voir avec. Mais ça te va super bien !
Belle journée
Alexandrine
Beautiful as always, and the dress–wow!